Laure Crepin réalise depuis 2017 une thèse à l’université Paris-8 sur les trajectoires résidentielles après les séparations conjugales, à l’aide de matériaux quantitatifs et qualitatifs. À travers cet objet, il s’agit d’explorer les conséquences résidentielles des séparations, conséquences différenciées en fonction du genre, de la classe, et des ressources, familiales et locales des séparés.